Les guerres physiques et économiques, la "dette" et les migrants répondent au même principe : ceux qui en sont les causes ne sont pas ceux qui en souffrent.
Les guerres sont déclarées par des gens qui se connaissent et sont pratiquées par des gens qui ne se connaissent pas. Les guerres physiques sont bien visibles mais les économiques, comme celle que nous vivons, sont moins évidentes. Nos dirigeants, sous idéologie Bruxelloise, créent des goulags économiques pour des millions de personnes qui sont sacrifiés sous prétexte d'établir un Homme moderne, universel mais qui devient individualiste, coupé du passé : la guerre de tous contre tous.
La fameuse "dette" de la France est due à l'incompétence de nos politiciens depuis plus de quarante ans. Ils devraient en répondre, les coquins, mais l'arme de la culpabilisation des masses a inversé les responsabilités, il faut payer.
Les migrants répondent au même principe : la culpabilisation et l'intimidation pour ceux qui veulent pas comprendre. La cause de cette nouvelle migration-invasion est le résultat du chaos organisé dans ces régions. Chaos qui profite à certains groupes économiques mais dont la charge est pour nous, le peuple Européen.
A qui profite le crime...
mercredi 14 octobre 2015
vendredi 2 octobre 2015
Nadine Morano : une voix populaire.
Si l'Homme, ce singe nu, est un animal métaphysique il faut bien comprendre que nadine Morano est beaucoup plus animal que métaphysicienne dans ses propos qui sont simples voire simplistes.
L'affaire Morano et "la race blanche".
Lors de l'émission "On n'est pas couché" du 22 sept. 2015 Nadine Morano déclare : "Nous sommes un pays judéo-chrétien...de race blanche qui accueille des personnes étrangères...j'ai envie que la France reste la France et je n'ai pas envie que la France devienne musulmane".
Il n'en fallait pas plus pour que le grand inquisiteur de service, Yann moix, saute sur l'occasion pour accoucher d'un pitoyable "Il faudra vous y habituer...", confondant.
Si nous retournons ces déclarations cela donne : "Nous ne sommes pas un pays judéo-chrétien...de race pas blanche qui n'accueille pas les personnes étrangères...je n'ai pas envie que la France reste la France et j'ai envie que la France devienne musulmane". Je vous laisse apprécier...
Un peu d'éthologie peut nous permettre de mieux comprendre le côté animal de Nadine Morano. Elle se sent attaqué dans ses comportements sociaux (sa culture) et dans ses comportements territoriaux (son pays), ce qui est tout à fait naturel et ressenti par une grande majorité populaire ("on n'est plus chez soi"). Il faut en tenir compte si on a la prétention de gouverner pour le peuple...
Oui à l'immigration non à l'invasion, mais où mettre le curseur.
Une fois de plus la police de la pensée au service des polit-bureaux essaye d'intimider et de culpabiliser une voix du Peuple.
L'affaire Morano et "la race blanche".
Lors de l'émission "On n'est pas couché" du 22 sept. 2015 Nadine Morano déclare : "Nous sommes un pays judéo-chrétien...de race blanche qui accueille des personnes étrangères...j'ai envie que la France reste la France et je n'ai pas envie que la France devienne musulmane".
Il n'en fallait pas plus pour que le grand inquisiteur de service, Yann moix, saute sur l'occasion pour accoucher d'un pitoyable "Il faudra vous y habituer...", confondant.
Si nous retournons ces déclarations cela donne : "Nous ne sommes pas un pays judéo-chrétien...de race pas blanche qui n'accueille pas les personnes étrangères...je n'ai pas envie que la France reste la France et j'ai envie que la France devienne musulmane". Je vous laisse apprécier...
Un peu d'éthologie peut nous permettre de mieux comprendre le côté animal de Nadine Morano. Elle se sent attaqué dans ses comportements sociaux (sa culture) et dans ses comportements territoriaux (son pays), ce qui est tout à fait naturel et ressenti par une grande majorité populaire ("on n'est plus chez soi"). Il faut en tenir compte si on a la prétention de gouverner pour le peuple...
Oui à l'immigration non à l'invasion, mais où mettre le curseur.
Une fois de plus la police de la pensée au service des polit-bureaux essaye d'intimider et de culpabiliser une voix du Peuple.
jeudi 24 septembre 2015
mercredi 15 juillet 2015
Pour la libération des peuples
Le pouvoir socio-économique domine actuellement la presque totalité des civilisations, ce qui détruit graduellement la liberté de l'Être humain en asservissant celui ci. Le système politique est, lui aussi, étouffé par ce pouvoir.
Le peuple doit se rendre compte qu'il est dirigé par des organisations qui sont ses ennemis, comme par exemple (1) La presse, la télévision...qui ont un pacte avec les pouvoirs économico-sociaux dont la tâche malsaine est de tirer des profits à ses dépens (du peuple) (2) La structure de la société n'a pas été organisée par le peuple lui-même, mais par des groupes dont l'intérêt était de l'exploiter.
Pour obtenir la libération il faut que : (1) Le peuple prenne conscience de la position d'esclave dans laquelle il se trouve actuellement; (2) Réorganiser la société pour la rendre à ceux à qui elle revient de droit, c'est à dire le peuple; (3) Cela ne dépend que de sa volonté (celle du peuple).
Le premier grand pas à franchir serait de réveiller l'Être humain qui est complétement endormi, et la condition fondamentale pour l'aider à être heureux est de conscientiser l'humanité de cet état d'obnubilation dans lequel il se trouve. Socialement nous devons immédiatement modifier les lois, qui permettent aux individus les plus déséquilibrés de dominer la société et être attentifs pour éviter que les individus nuisibles la dévient à nouveau. Nous devons rester vigilants à chaque minute pour ne pas être lésés. "L'éternelle vigilance est le prix de notre liberté" comme disait Lincoln.
Notre société est pleine de haine, d'envie, de cupidité de milliers d'individus qui ont carte blanche pour déverser sur l'humanité toute leur pathologie. C'est pourquoi nous sommes constamment mutilés de notre intelligence, de nos sentiments, de nos actions et sommes obligés de réduire nos capacités et de vivre comme des débiles mentaux, il y a beaucoup de suicides!.
Nous ne sommes pas libres, nous sommes obligés de servir les tout puissants de ce monde, de servir la maladie mentale, la théomanie (manie de vouloir être Dieu), la mégalomanie (la folie des grandeurs), le narcissisme, la cupidité et l'envie. Nous vivons dans une ambiance de paranoïa incroyable, parce que personne n'a confiance. On dirait presque que l'on vit la situation qu'Orwel décrivit dans son livre 1984.
Norberto R. Keppe dans son livre "La libération des Peuples" de 1992...propose :
(1) Que toutes les organisations économiques appartiennent à tous ceux qui y travaillent, devenant ainsi des entreprises communes à tous.
(2) Que chacun gagne selon la valeur de son travail, et non en rapport avec le capital qu'il a investi dans l'organisation.
(3) La formation de société Trilogiques (le bon, le beau et le juste) qui puissent dominer les tout puissants et les groupes d'exploitation.
(4) L'élimination graduelle des grandes propriétés privées afin que tous puissent en posséder une petite, sera l'unique moyen d'obtenir la paix entre les hommes et une vie sans angoisse. La Terre serait assez grande pour toute l'humanité si certains ne se l'appropriaient pas de manière si extravagante.
Il nous faut faire une totale reformulation de la philosophie de vie afin d'obtenir une société du moindre mal.
vendredi 10 juillet 2015
mardi 7 juillet 2015
La racine du mal Humain
Depuis la nuit des temps le monde est une vallée de larmes, une succession de batailles, guerres, meurtres, rivalités, rapports de force, dominés-dominants, esclaves, humiliés, asservis...
L'humanité n'a pas changé : les Grecs et les Romains avaient des esclaves, puis les religieux imposèrent leur pouvoir au Moyen-Age en persécutant et torturant avec l'inquisition, puis vinrent les seigneurs féodaux et ensuite les grands bourgeois, suivis aujourd'hui par les capitalistes et les communistes qui exploitent les plus faibles, le peuple. En Europe nous sommes passés des guerres physiques à une guerre économique.
Mais pourquoi tant de malheurs ?
Pour comprendre il faut remonter à la nature humaine. pour le biologiste l'Homme est un primate (le singe nu de Desmond Morris) donc un animal. Pour le philosophe l'Homme est un animal métaphysique (Arthur Schopenhauer). Il est biologiquement un animal avec en plus la particularité unique d'avoir conscience de sa présence sur terre et du monde qui l'entoure. Son esprit lui permet de se questionner sur ce qui dépasse le physique ( du grec méta : après, au-delà de).
L'Homme est d'abord un animal, animé, comme tout ce qui est vivant, "d'élan vital" (Henri Bergson), d'un "vouloir vivre" (Arthur Schopenhauer) et d'une "volonté de puissance" (Friedrich Nietzsche). Il répond donc à son instinct de survie qui le pousse à trouver une place dans la hiérarchie humaine pour se reproduire, en devenant un dominant ou un dominé. La volonté de puissance fait donc partie de sa nature. Il veut devenir le "chef" par tous les moyens, se servant de ses constructions mentales plus ou moins délirantes, la fin justifiant les moyens.
Aujourd'hui l'unité de mesure de cette volonté de puissance est l'argent, c'est pourquoi nous sommes en guerre économique.
Cette volonté de puissance à l'état pur débouche sur la barbarie, la même cultivée peut devenir raffinée par spiritualisation (arts, jugements...). L'uniformisation de notre société débouche sur un grégarisme moral à l'opposé de la réalisation spirituelle.
La racine du mal humain est donc la volonté de puissance qui nous anime en tant qu'animal.
L'Homme peut devenir un guerrier ou un artiste.
L'humanité n'a pas changé : les Grecs et les Romains avaient des esclaves, puis les religieux imposèrent leur pouvoir au Moyen-Age en persécutant et torturant avec l'inquisition, puis vinrent les seigneurs féodaux et ensuite les grands bourgeois, suivis aujourd'hui par les capitalistes et les communistes qui exploitent les plus faibles, le peuple. En Europe nous sommes passés des guerres physiques à une guerre économique.
Mais pourquoi tant de malheurs ?
Pour comprendre il faut remonter à la nature humaine. pour le biologiste l'Homme est un primate (le singe nu de Desmond Morris) donc un animal. Pour le philosophe l'Homme est un animal métaphysique (Arthur Schopenhauer). Il est biologiquement un animal avec en plus la particularité unique d'avoir conscience de sa présence sur terre et du monde qui l'entoure. Son esprit lui permet de se questionner sur ce qui dépasse le physique ( du grec méta : après, au-delà de).
L'Homme est d'abord un animal, animé, comme tout ce qui est vivant, "d'élan vital" (Henri Bergson), d'un "vouloir vivre" (Arthur Schopenhauer) et d'une "volonté de puissance" (Friedrich Nietzsche). Il répond donc à son instinct de survie qui le pousse à trouver une place dans la hiérarchie humaine pour se reproduire, en devenant un dominant ou un dominé. La volonté de puissance fait donc partie de sa nature. Il veut devenir le "chef" par tous les moyens, se servant de ses constructions mentales plus ou moins délirantes, la fin justifiant les moyens.
Aujourd'hui l'unité de mesure de cette volonté de puissance est l'argent, c'est pourquoi nous sommes en guerre économique.
Cette volonté de puissance à l'état pur débouche sur la barbarie, la même cultivée peut devenir raffinée par spiritualisation (arts, jugements...). L'uniformisation de notre société débouche sur un grégarisme moral à l'opposé de la réalisation spirituelle.
La racine du mal humain est donc la volonté de puissance qui nous anime en tant qu'animal.
L'Homme peut devenir un guerrier ou un artiste.
lundi 6 juillet 2015
Une dictature économique à visage démocratique, l'Europe.
Sous les apparences de liberté se cache en vérité une dictature suffisamment subtile pour faire croire au plus grand nombre qu'il est encore libre.
L'Europe, une dictature économique à visage démocratique.
dimanche 5 juillet 2015
samedi 27 juin 2015
lundi 15 juin 2015
Être Colibri
Être Colibri c'est faire sa part, mais pourquoi et comment ?
Pourquoi, pour influer la marche du monde, donner des signaux à notre société, à nos politiciens qui vont dans le sens du vent. La société c'est nous et nos actions peuvent déterminer le changement du monde.
Il nous faut combattre le mythe de la croissance éternelle, la prédominance de l'économie sur l'Homme, une éducation à l'asservissement, les structures sociales dominantes, les volontés de puissance...le tout entrainant des violences. Il faut donc changer nos structures sociales, politiques ainsi que nos actions afin de les mettre au service de l'Homme et non l'inverse, la société c'est nous. La liberté découle de l'autonomie mais nous sommes tous liés et interdépendants ce qui nous oblige à une coopération et non une exploitations de beaucoup par certains.
Comment, en changeant de formes de pensées et d'actions.
Ecologiquement, comprendre que l'Homme n'est pas dissociable de la nature, il est nature et en dépend. En agriculture, il faut travailler avec la terre et non contre elle, revitaliser le tissu agricole.
Socialement, il faut coopérer, participer, partager, répartir, décentraliser...les modèles pyramidaux sont obsolètes.
Economiquement, il faut revenir à des économies locales afin de développer l'autonomie des populations. L'argent doit être vu comme un moyen et non un but.
Cette liste est loin d'être complète mais elle comprend des pistes qu'il faut favoriser si on veut être un Colibri éthique.
Pourquoi, pour influer la marche du monde, donner des signaux à notre société, à nos politiciens qui vont dans le sens du vent. La société c'est nous et nos actions peuvent déterminer le changement du monde.
Il nous faut combattre le mythe de la croissance éternelle, la prédominance de l'économie sur l'Homme, une éducation à l'asservissement, les structures sociales dominantes, les volontés de puissance...le tout entrainant des violences. Il faut donc changer nos structures sociales, politiques ainsi que nos actions afin de les mettre au service de l'Homme et non l'inverse, la société c'est nous. La liberté découle de l'autonomie mais nous sommes tous liés et interdépendants ce qui nous oblige à une coopération et non une exploitations de beaucoup par certains.
Comment, en changeant de formes de pensées et d'actions.
Ecologiquement, comprendre que l'Homme n'est pas dissociable de la nature, il est nature et en dépend. En agriculture, il faut travailler avec la terre et non contre elle, revitaliser le tissu agricole.
Socialement, il faut coopérer, participer, partager, répartir, décentraliser...les modèles pyramidaux sont obsolètes.
Economiquement, il faut revenir à des économies locales afin de développer l'autonomie des populations. L'argent doit être vu comme un moyen et non un but.
Cette liste est loin d'être complète mais elle comprend des pistes qu'il faut favoriser si on veut être un Colibri éthique.
vendredi 12 juin 2015
La Légende du colibri
C'est une légende amérindienne que raconte Pierre Rabhi, le fondateur du réseau "COLIBRIS".
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s'activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit: "Colibri! Tu n'es pas fou? Ce n'est pas avec ces gouttes d'eau que tu vas éteindre le feu!" et le colibri lui répondit: "Je le sais, mais je fais ma part".
http://www.colibris-lemouvement.org
De cette légende on peut en extraire le principe du colibri : Faire sa part pour changer le monde car chacun de nous a un rôle à jouer (économique, social, culturel, écologique...).
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s'activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit: "Colibri! Tu n'es pas fou? Ce n'est pas avec ces gouttes d'eau que tu vas éteindre le feu!" et le colibri lui répondit: "Je le sais, mais je fais ma part".
http://www.colibris-lemouvement.org
De cette légende on peut en extraire le principe du colibri : Faire sa part pour changer le monde car chacun de nous a un rôle à jouer (économique, social, culturel, écologique...).
mercredi 10 juin 2015
La fin annoncée de la civilisation industrielle
"Nous sommes en train de vivre une mosaïque d'effondrements" selon pablo Servigne et Raphaël Stevers les auteurs de "Comment tout peut s'effondrer", un petit manuel de collapsologie à l'usage des générations présentes, Ed du seuil (collection anthropocène), avril 2015, 304 p, 19 euros.
Dans leur livre les auteurs préviennent que tout peut s'effondrer car nous avons déjà transgressé quatre frontières vitales sur neuf. "Etre catastrophique, ce n'est ni être pessimiste, ni optimiste, c'est être lucide, il nous faut sortir du déni". Leur approche est interdisciplinaire.
Les neuf seuils sont le climat, la biodiversité, l'affectation des terres, l'acidification des océans, la consommation d'eau douce, la pollution chimique, l'ozone stratosphérique, le cycle de l'azote et du phosphore et la charge en aérosols de l'atmosphère.
Quatre ont été dépassés avec le réchauffement climatique, le déclin de la biodiversité, le déforestation et les perturbations du cycle de l'azote et du phosphore.
Ils considèrent cinq stades d'effondrement : financier, économique, politique, social et culturel, auxquels on peut ajouter un sixième stade, l'effondrement écologique, qui empêchera une civilisation de redémarrer.
Nous en sommes où ? A lire et méditer.
Dans leur livre les auteurs préviennent que tout peut s'effondrer car nous avons déjà transgressé quatre frontières vitales sur neuf. "Etre catastrophique, ce n'est ni être pessimiste, ni optimiste, c'est être lucide, il nous faut sortir du déni". Leur approche est interdisciplinaire.
Les neuf seuils sont le climat, la biodiversité, l'affectation des terres, l'acidification des océans, la consommation d'eau douce, la pollution chimique, l'ozone stratosphérique, le cycle de l'azote et du phosphore et la charge en aérosols de l'atmosphère.
Quatre ont été dépassés avec le réchauffement climatique, le déclin de la biodiversité, le déforestation et les perturbations du cycle de l'azote et du phosphore.
Ils considèrent cinq stades d'effondrement : financier, économique, politique, social et culturel, auxquels on peut ajouter un sixième stade, l'effondrement écologique, qui empêchera une civilisation de redémarrer.
Nous en sommes où ? A lire et méditer.
lundi 8 juin 2015
Roland-Garros
Pourquoi regarder ou aller à Roland-Garros, les Internationaux de France de Tennis.
La finale a attiré, hier dimanche, 3,7 millions de téléspectateurs de moyenne sur France 2. Comme l'an dernier la finale seule, elle , a rassemblé 4,1 millions de téléspectateurs avec un pic d'audience à plus de 5,9 millions au moment de la victoire de Stan Wawrinka.
En 2013 on comptait un peu plus de 1 million de licenciés à la fédération française de tennis (FFT). On peut donc en déduire que bon nombre de téléspectateurs n'ont jamais tenu une raquette, mais alors pourquoi cet intérêt ? Certains pour l'amour du tennis, du sport en général, du besoin de compétition par personnes interposées, trouver des héros, aller aux "jeux du cirque"...
Se déplacer à Roland-Garros est une autre démarche, beaucoup plus lourde. Pour les vrais amateurs c'est un moment d'émotions bien sur. Pour la grande majorité, sociologiquement des classes aisées, c'est une obligation due à la volonté de puissance. Il faut se montrer, être vu, c'est le dernier salon où l'on "cause" : démarche mondaine, snob. Pour certains les coulisses sont le lieu des affaires...mais pour cela il faut être capable d'endurer des heures le soleil en étant mal assis.
Pour Manuel Valls (présent lors de la finale) : "Roland-Garros a besoin de s'étendre".
Malgré un avis défavorable du Conseil de Paris une semaine plus tôt, Manuel Valls a décidé de donner son feu vert au projet d'extension en amputant un hectare sur le jardin botanique des serres d'Auteuil, pour un coût de 350 à 400 millions d'euros...les affaires je vous dis : argent, communication, sponsors...le tout politiquement correct.
Je n'ai pas regardé Roland-Garros mais j'ai joué au tennis.
La finale a attiré, hier dimanche, 3,7 millions de téléspectateurs de moyenne sur France 2. Comme l'an dernier la finale seule, elle , a rassemblé 4,1 millions de téléspectateurs avec un pic d'audience à plus de 5,9 millions au moment de la victoire de Stan Wawrinka.
En 2013 on comptait un peu plus de 1 million de licenciés à la fédération française de tennis (FFT). On peut donc en déduire que bon nombre de téléspectateurs n'ont jamais tenu une raquette, mais alors pourquoi cet intérêt ? Certains pour l'amour du tennis, du sport en général, du besoin de compétition par personnes interposées, trouver des héros, aller aux "jeux du cirque"...
Se déplacer à Roland-Garros est une autre démarche, beaucoup plus lourde. Pour les vrais amateurs c'est un moment d'émotions bien sur. Pour la grande majorité, sociologiquement des classes aisées, c'est une obligation due à la volonté de puissance. Il faut se montrer, être vu, c'est le dernier salon où l'on "cause" : démarche mondaine, snob. Pour certains les coulisses sont le lieu des affaires...mais pour cela il faut être capable d'endurer des heures le soleil en étant mal assis.
Pour Manuel Valls (présent lors de la finale) : "Roland-Garros a besoin de s'étendre".
Malgré un avis défavorable du Conseil de Paris une semaine plus tôt, Manuel Valls a décidé de donner son feu vert au projet d'extension en amputant un hectare sur le jardin botanique des serres d'Auteuil, pour un coût de 350 à 400 millions d'euros...les affaires je vous dis : argent, communication, sponsors...le tout politiquement correct.
Je n'ai pas regardé Roland-Garros mais j'ai joué au tennis.
dimanche 7 juin 2015
Rencontre Michel Onfray avec Eric Zemmour
Le 05 juin 2015 la salle de l'opéra de Nice était comble pour cette rencontre animée par Franz Olivier Giesbert.
Les auteurs, entre autres de "Cosmos" et du "Suicide Français", ont débattu sur l'Islam, l'Europe, le libéralisme, Mai 68...
Qu'on soit d'accord ou pas avec eux l'important est d'entendre leurs avis malgré les tentatives récentes du gouvernement de les discréditer. Ce qui n'est pas démocratique.
Il faut que tout le monde parle et de ce bouillon d'idées jaillira peut être la "lumière", celle qui caractérise notre grande civilisation, en danger.
A voir ou écouter sur les sites web du "Point" et "France bleu".
Les auteurs, entre autres de "Cosmos" et du "Suicide Français", ont débattu sur l'Islam, l'Europe, le libéralisme, Mai 68...
Qu'on soit d'accord ou pas avec eux l'important est d'entendre leurs avis malgré les tentatives récentes du gouvernement de les discréditer. Ce qui n'est pas démocratique.
Il faut que tout le monde parle et de ce bouillon d'idées jaillira peut être la "lumière", celle qui caractérise notre grande civilisation, en danger.
A voir ou écouter sur les sites web du "Point" et "France bleu".
mardi 2 juin 2015
Des Paroles et des Actes
Je regarde rarement la TV mais cette émission du 27-05-2015 avait un titre attirant : la France est elle en déclin ?
Au premier abord les invités n'étaient pas tous de premier plan mais le choix s'est montré judicieux et équilibré : un vieux journaliste réac., une autre brillante conservatrice, un de la gauche libérale libertaire, un chef d'entreprise pour qui tout va bien, un ancien dirigeant d'une société du CAC 40 tolérant et clairvoyant ("nous sommes mal gouverné depuis 40 ans"), un agriculteur à la retraite pour qui l'Homme doit passer avant l'économie, un nouveau Français qui a sorti la tête de l'eau, une canadienne très drôle et enfin un jeune (20 ans) qui manie la langue de bois comme un politicien, fort de sa réussite scolaire.
Beaucoup de questions dans le calme et bien sur pas de réponses dans ces un peu plus de deux heures d'émission.
Je félicite le présentateur, David Pujadas, d'avoir eu le courage d'aborder des questions difficiles comme l'économie, la politique, l'immigration, la thèse du grand remplacement...le tout calmement.
A revoir en replay.
Au premier abord les invités n'étaient pas tous de premier plan mais le choix s'est montré judicieux et équilibré : un vieux journaliste réac., une autre brillante conservatrice, un de la gauche libérale libertaire, un chef d'entreprise pour qui tout va bien, un ancien dirigeant d'une société du CAC 40 tolérant et clairvoyant ("nous sommes mal gouverné depuis 40 ans"), un agriculteur à la retraite pour qui l'Homme doit passer avant l'économie, un nouveau Français qui a sorti la tête de l'eau, une canadienne très drôle et enfin un jeune (20 ans) qui manie la langue de bois comme un politicien, fort de sa réussite scolaire.
Beaucoup de questions dans le calme et bien sur pas de réponses dans ces un peu plus de deux heures d'émission.
Je félicite le présentateur, David Pujadas, d'avoir eu le courage d'aborder des questions difficiles comme l'économie, la politique, l'immigration, la thèse du grand remplacement...le tout calmement.
A revoir en replay.
vendredi 29 mai 2015
Anniversaire
Il y a dix ans eu lieu (29 mai 2005) le référendum français sur le traité établissant une constitution pour l'Europe.
A la question "Approuvez vous le projet de loi qui autorise la ratification du traité établissant une constitution pour l'Europe ?", le "non" recueille 54,68% des suffrages exprimés.
Le gouvernement français n'a pas proposé un nouveau référendum à ses citoyens au motif que par la reformulation du texte dans un nouveau traité celui ci n'est pas une Constitution Européenne...Une révision de la Constitution française, effectuée par la voie du Congrès le 04 février 2008 au Château de Versailles, a permis la ratification du traité lui-même par la voie parlementaire le 08 février.
Passer par dessus un référendum, ne pas en tenir compte, est un fait de dictature. Nous sommes depuis dans une dictature économique à visage démocratique.
Triste anniversaire.
A la question "Approuvez vous le projet de loi qui autorise la ratification du traité établissant une constitution pour l'Europe ?", le "non" recueille 54,68% des suffrages exprimés.
Le gouvernement français n'a pas proposé un nouveau référendum à ses citoyens au motif que par la reformulation du texte dans un nouveau traité celui ci n'est pas une Constitution Européenne...Une révision de la Constitution française, effectuée par la voie du Congrès le 04 février 2008 au Château de Versailles, a permis la ratification du traité lui-même par la voie parlementaire le 08 février.
Passer par dessus un référendum, ne pas en tenir compte, est un fait de dictature. Nous sommes depuis dans une dictature économique à visage démocratique.
Triste anniversaire.
mardi 26 mai 2015
CULTURE et CIVILISATION
Par le mot Culture on désigne ce qui est différent de la nature, de l'ordre de l'acquis et non de l'inné.
Sociologiquement on peut la définir comme "ce qui est commun à un groupe d'individus" donc "ce qui les soude".
Ses traits distinctifs sont spirituels, matériels, intellectuels, affectifs...il en découle les arts, les lettres, les sciences, les modes de vie, les droits humains, les systèmes de valeurs, les traditions, les croyances...ce qui donne une société ou un groupe social.
C'est un abus de langage et même une dérive moderne d'utiliser le mot de "culture" pour représenter les offres de pratiques et de services culturels dans nos sociétés.
L'ensemble de ces traits culturels (technique, intellectuel, politique, moral) à un moment donné caractérise une civilisation.
La diversité culturelle est menacée par la mondialisation qui tend à l'uniformisation, c'est catastrophique et en particulier pour la nôtre.
Sociologiquement on peut la définir comme "ce qui est commun à un groupe d'individus" donc "ce qui les soude".
Ses traits distinctifs sont spirituels, matériels, intellectuels, affectifs...il en découle les arts, les lettres, les sciences, les modes de vie, les droits humains, les systèmes de valeurs, les traditions, les croyances...ce qui donne une société ou un groupe social.
C'est un abus de langage et même une dérive moderne d'utiliser le mot de "culture" pour représenter les offres de pratiques et de services culturels dans nos sociétés.
L'ensemble de ces traits culturels (technique, intellectuel, politique, moral) à un moment donné caractérise une civilisation.
La diversité culturelle est menacée par la mondialisation qui tend à l'uniformisation, c'est catastrophique et en particulier pour la nôtre.
dimanche 24 mai 2015
De Tout et Rien
En ce dimanche de Pentecôte sur cette terre de culture chrétienne, la France, je dois constater que rien va au mieux.
L'économie se porte mal mais est elle plus importante que l'Homme.
Le mur écologique se rapproche.
Notre personnel politique est insignifiant tellement il est le jouet de sa volonté de puissance. Il ne connait que le mythe de la croissance éternelle.
Notre gouvernement de gauche libérale libertaire se coupe des intellectuels en les méprisant, il n'y a plus de débat.
On vend des avions pour semer la mort à des "amis" tout en refusant des bateaux à la Russie, ce qui nous coûte la bagatelle de plus de 900 millions d'euros. Il ne fallait pas prendre la commande.
L'immigration de masse ou invasion est un problème mais il est interdit d'en discuter même calmement, c'est tabou sous peine d'être catalogué raciste et même nazi.
La culture fond au profit d'une société de divertissements.
L'enseignement est à un niveau catastrophique, perte du goût à l'effort et absence d'autorité.
Notre société ne peut être que celle du moindre mal puisque l'Homme est imparfait mais arriver à ce résultat après plus de 2000 ans de civilisation c'est affligeant.
Mais à qui profite le crime.
L'économie se porte mal mais est elle plus importante que l'Homme.
Le mur écologique se rapproche.
Notre personnel politique est insignifiant tellement il est le jouet de sa volonté de puissance. Il ne connait que le mythe de la croissance éternelle.
Notre gouvernement de gauche libérale libertaire se coupe des intellectuels en les méprisant, il n'y a plus de débat.
On vend des avions pour semer la mort à des "amis" tout en refusant des bateaux à la Russie, ce qui nous coûte la bagatelle de plus de 900 millions d'euros. Il ne fallait pas prendre la commande.
L'immigration de masse ou invasion est un problème mais il est interdit d'en discuter même calmement, c'est tabou sous peine d'être catalogué raciste et même nazi.
La culture fond au profit d'une société de divertissements.
L'enseignement est à un niveau catastrophique, perte du goût à l'effort et absence d'autorité.
Notre société ne peut être que celle du moindre mal puisque l'Homme est imparfait mais arriver à ce résultat après plus de 2000 ans de civilisation c'est affligeant.
Mais à qui profite le crime.
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